Les intervenants de l'AR.2

NOS INTERVENANTS ET AMIS : QUI SONT-ILS :
Quels sont nos spécialistes et intervenants dans l’enseignement de " l’AR.2 défense " et pourquoi sont-ils aujourd’hui à nos côtés ?

Tous, ont un point commun : un très haut niveau d’expertise. Ils ont été séduits par le programme de l’AR.2, l’approche de son organisation et de l’enseignement. Ils ont tous vu et touché du doigt l’importance de la self-défense de nos jours et ont pris conscience de l’obligation de diversifier son enseignement dans de nombreux domaines.
Nous avons recherché quels pourraient être nos liens et que mettre en place pour « adapter » leurs spécialités aux contraintes de l’auto-défense en milieu urbain.
Ils ont tous effectué en collaboration avec l’AR.2, un travail de recherche sur leur valeur ajoutée et sur les limites de leur art en situation de « rue ».

 

 Avec Roger QUIBET en « AR.2 Lutte » (Champion du LIBAN et tireur aux JO de Séoul) nous avons conservé toutes les prises et contre prises en station debout, mais nous avons corrigé la position de base du lutteur (très basse sans protection du visage) par une position de self-défense. Nous avons changé la physionomie du combat de lutte. Le but originel qui est de plaquer les deux épaules de l’adversaire au sol, n’est pas une fin en soi en combat de rue. Au contraire nous préférerons « amener au sol » ou plutôt « jeter au sol » et conserver l’agresseur face contre terre, afin de frapper, d’immobiliser par contraintes articulaires, de dégager éventuellement les mains armées, de nous permettre d’évaluer la situation périphérique pour pouvoir se replier éventuellement ou combattre d’autres adversaires.

 



 

 

 De même dans le combat d’escrime, Maître GIORGI ( Multi Champion du Monde) comprend, bien entendu, que les armes utilisées sont inadaptées à l’auto-défense. Par contre les techniques de l’escrime sont particulièrement efficaces à condition que l’on adapte l’escrime à des positions de « self-défenseur », que l’on change d’accessoires de défense et que l’on mixe l’ensemble au panel de la self. Les armes utilisables seront des armes de fortune et non des armes de 6eme catégorie, telles que des branches, un bâton de fortune, un parapluie, une canne, un journal ou revue roulée. Nous avons déterminé qu’il fallait une technique de base commune quelque soit le moyen de défense utilisé pour correspondre au programme de « l’AR.2 l’escrime ».

 

 

 

 

 Bernard MERIC quant à lui est un « chercheur » de l’Ostéopathie. Il est bien entendu diplômé en kinésithérapie, mais il a pris conscience de la nécessité d’aller plus loin. Il soigne aujourd’hui en alliant la Kinésie, l’osthéo et les sciences « parallèles » telles que l’aromathérapie etc…Il a, lui aussi été séduit par le projet de l’AR.2 qui permettrait aux personnes intéressées, de mieux appréhender la complexité du corps humain et d’appendre à identifier des éléments superficiels et profonds de l’anatomie par la « palpation ». En se connaissant mieux grâce à la palpation et prenant conscience des liaisons du corps humain on apprend où frapper plus précisément pour se dégager plus facilement d’une situation critique.
Bernard nous parlera aussi des centres énergétiques et des liaisons et accidents rachidiens.
Il nous informera sur les risques et conséquences traumatiques irréversibles de certaines techniques qui pourraient être utilisées en auto-défense contre autrui mais aussi que l’on pourrait subir.